Avec la guerre civile espagnole (1936-1939), l'arrivée à Toulouse d'une forte communauté d'exilés espagnols et enfin l'arrivée au pouvoir du Philippe Pétain, la communauté espagnole et les membres du parti communiste sont ciblés par les lois autoritaires du gouvernement de Vichy. Le père et les frères de Del Rio sont arrêtés et internés dans le camp du Vernet, puis déportés en Algérie, au camp de Djelfa[3].
Résistance
Relâchée en mars 1941, elle est à nouveau arrêtée en avril 1941 mais cette fois comme étrangère et enfermée au camp du Récébédou[3].
Engagement citoyen
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Hommages
Une rue porte son nom dans la commune de L'Union[4]. En 2009, une plaque commémorative a été installée au 13 rue Alsace-Lorraine à Toulouse en mémoire du premier acte de résistance toulousaine auquel Angèle Bettini del Rio a participé[5].
La ville de Portet sur Garonne à donné son nom à une salle de spectacle, à 2 pas du musée de la mémoire dans le quartier du Récébedou, inaugurée à l'automne 2023[6].
Notes et références
↑BNF, notice personne : Bettini del Rio, Angèle (lire en ligne).
Nicole Bary, Camps de femmes : chroniques d'internées, Rieucros et Brens, 1939-1944, Paris, Editions Autrement, (ISBN2-7467-0028-X, lire en ligne)
Catherine Heurteux-Peyréga et Angèle Bettini de Rio, Comment j'ai résisté à Pétain : Catherine Heurteux-Peyréga en conversation avec Angèle Bettini del Rio, Aubiet, Le Vent se lève !, (ISBN979-10-91102-00-1, lire en ligne)
Association pour perpétuer le souvenir des internés des camps de Brens et de Rieucros, Commémoration du premier acte de Résistance à Toulouse le 5 novembre 1940, Brens, Association pour perpétuer le souvenir des internées des camps de Brens et de Rieucros, (ISBN978-2-9536314-0-1 et 2-9536314-0-2, lire en ligne)
Haute Garonne résistante, Toulouse, Conseil départemental de la Haute-Garonne,