Fils de François Albert, il poursuit des études de lettres et de droit avant d'entamer une carrière publique. Journaliste à l'Œuvre et au Petit Journal, il entre, en 1933, au cabinet du secrétaire d’État à l'économie nationale, Raymond Patenôtre.
Cette attitude lui vaudra d'être relevée de l'inéligibilité en . Il abandonne cependant la vie politique, reprenant ses activités au service politique de Paris-Presse puis de l'Aurore.
Il est inhumé aux côtés de son père au cimetière de Béruges, dans la Vienne[2].
Sources
« André Albert », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960 [détail de l’édition]