Alexandre Pons est le fils d’Eugène Pons, artisan carrossier-forgeron né en 1849 à Rieumes et de Louise Aragon née en 1855 à Pébées dans le Gers.
Il a d'abord étudié à l'école communale de Rieumes, puis au petit séminaire de Toulouse et enfin au grand séminaire d’Oran. Il a également étudié l’arabe. Il possède un doctorat en théologie et une licence de philosophie de l’institut catholique de Toulouse[réf. nécessaire]
Il a été ordonné prêtre le [2] à Toulouse par Mgr Germain, archevêque à Toulouse[réf. nécessaire].
Il a été professeur au collège du Caousou à Toulouse, puis vicaire en Algérie, et admis chez les missionnaires diocésains de Lyon[4].
L'Expérience religieuse de Chateaubriand, Lethielleux, 1912[7]
Une méditation dramatisée de la mort de Jésus ou les sept heures de la passion (d'après un manuscrit du Chancelier Gerson), Librairie Castermann, 1914[8].
La Guerre et l'Âme française, avec l'Abbé E. Loutil, Bloud & Gay, 1915[9]
Il n'y a pas de morts : la doctrine de la survie..., Librairie Roblot, Paris, 1916[10]
Jésus chez les juifs d’hier et les chrétiens d’aujourd’hui, Tomes 1 et 2, Librairie P. Lethielleux, Paris, 1920[12]
La nouvelle Église d'Afrique ou le catholicisme en Algérie, en Tunisie et Maroc depuis 1830, Librairie Namura, Tunis, 1930[3],[Note 3]
Le Banquet du seigneur, ou la communion d'après les docteurs et la pratique de l'ancienne Église d'Afrique, Librairie Namura, Tunis
« De Tunis à Casablanca sous le signe de l'équinoxe », L'Atlas du (hebdomadaire marocain)
Notes et références
Notes
↑Souvent précédé par le titre d'appel Monseigneur(abrégé Mgr).
↑Il a pour rôle d'enseigner l'écriture sainte en conférences publiques.
↑L'ouvrage La nouvelle Église d'Afrique ou le catholicisme en Algérie, en Tunisie et Maroc depuis 1830 fait l'objet d'une longue recension ici sur 4 pages de la Revue de l'histoire des colonies françaises 1931, pages 207-210.