Début , alors professeur à la faculté de médecine de Paris, il fit partie des quatre pharmaciens de la section de protection de la Commission des gaz asphyxiants (remplacée par la Commission des études chimiques de guerre le ). En 1917, il élabora la neutralisation de l’ypérite par le chlorure de chaux et mit au point un procédé de nettoyage des vêtements contaminés.