Il prend part aux Volontaires nationaux en Loire-Inférieure en 1935-1936, mouvement de jeunesse attaché aux Croix-de-Feu du colonel de La Rocque. Après avoir suivi une préparation militaire spéciale en 1937 et 1939, il est mobilisé et affecté au groupement spécial d’infanterie de la Deuxième Compagnie en 1939.
Démobilisé en 1940, Bolo devient fondé de pouvoirs chez un courtier en assurances maritimes. Il travaille de à à l'Office interprofessionnel de la distribution à Nantes. Il devient ensuite directeur de la branche « matériaux » d’une grande entreprise nantaise de 1946 à 1949, puis représentant en bâtiment et travaux publics.
Gaulliste, il figure sur la liste opposée sans succès à André Morice aux élections municipales de 1971 à Nantes.
Bolo obtient sa réélection comme député en 1973 et devient membre du Comité central de l'UDR en 1974. À la Chambre, il dépose entre autres, en , une proposition de loi visant à faciliter l'accès des citoyens aux documents administratifs, et s'oppose au texte visant à transformer le Conseil constitutionnel soit de se transformer en véritable Cour suprême et s'abstient sur la question du divorce par consentement mutuel. Il refuse sa désignation comme rapporteur de la loi sur l'interruption volontaire de grossesse (IVG) jugeant le projet gouvernemental trop libéral, et, lors de la discussion du texte en séance publique, prononce un véritable réquisitoire à son encontre, qualifiant la mesure de violation de « la loi naturelle », d'« euthanasie légale » ou d'une forme d'eugénisme menaçant « toute forme de vie amoindrie, qu’elle soit infirme, anormale, maladive ou sénile », estime que cela conduirait à « l'avortement pour convenance personnelle » et s'inquiète des conséquences sur la démographie française de la loi Veil. Rapporteur d'un important projet de loi sur l'architecture en , il supprime les dérogations au permis de construire dont disposaient les administrations et impose de consulter un architecte ou un conseil départemental d'architecture pour s’assurer de « l'insertion harmonieuse » du projet dans le site.
Défenseur convaincu de l'enseignement libre, il siège, à partir de , comme membre titulaire à la commission de surveillance et de contrôle des publications destinées à l'enfance et l'adolescence.