Le terme tire ses origines de l'expression latine utilisée dans l'antiquité « espace recouvert de plâtre où l'on inscrivait ce que l'on voulait porter à la connaissance du public » et, à l'époque romantique, de l'album amicorum : « petit cahier blanc des voyageurs destiné à recevoir des autographes ou des sentences »[3].
Histoire
En France
En France, les premières collections d'albums pour la jeunesse apparaissent à la fin du XIXe siècle (collection Trim chez Hachette et collection des Albums Stahl chez Hetzel).
L’album est composé d’images et de textes. Parfois il s’agit de la même personne qui est l’auteur-illustrateur, parfois il s’agit de deux personnes qui ont collaboré pour faire un album.
Une littérature pour l'enfance et la jeunesse
C’est souvent le premier objet littéraire et artistique auquel ont accès les enfants dès le plus jeune âge.
Plus d'un enfant développe du plaisir à lire ce genre de livre, ce qui l'amène à explorer différents thèmes, sensibilités artistiques ou mondes imaginaires.
Plus qu'un genre, l'album de littérature de jeunesse est une forme d'expression possédant ses propres codes. Inscrite dans un format spécifique, l'interaction image-texte est constitutive d'une narration toujours singulière.
↑Sophie Van der Linden, Album[s], éditions De Facto-Actes Sud « Encore une fois », 2013, p. 29
↑Nieres-Chevrel, Isabelle, 1941- ... et Perrot, Jean, 1937- ..., Dictionnaire du livre de jeunesse : la littérature d'enfance et de jeunesse en France, Electre-Ed. du Cercle de la Librairie, dl 2013 (ISBN9782765414018 et 2765414017, OCLC862208705, lire en ligne), p. 15