En 1923, après la mort du cardinal Richelmy, il devient professeur au séminaire diocésain, curé de paroisse puis aumônier de l'hôpital militaire de Turin. Accordant une attention particulière aux femmes domestiques, il donna naissance à l'institut religieux des Soeurs du Bon Secours pour les former, les éduquer, et leur inculquer des valeurs morales et chrétiennes. La nouvelle congrégation se répandit en Italie et en Colombie.