En Inde, la dynastie Iksvâku succède aux Satavahana à Nagarjunakonda (vers 225-340)[1]. Nagarjunakonda devient un centre actif du bouddhisme. L’art (sculpture), rattaché à la phase finale d’Amaravati, s’y développe dans un climat de grande liberté spirituelle, les souverains Iksvâku étant hindous et leurs épouses bouddhistes.
↑K. R. Subramanian, Buddhist remains in Āndhra and the history of Āndhra between 224 & 610 A.D., Asian Educational Services, , 186 p. (ISBN978-81-206-0444-5, présentation en ligne)