André Breton, Adieu ne plaise, chez Pierre André Benoit à Alès (Gard)[1].
Avril
Breton visite l'exposition L'Art norvégien. Mille ans de tradition viking[2].
Mai
Le peintre suédois Max Walter Svanberg illustre entièrement le troisième numéro de la revue Médium[3].
Décembre
Farouche à quatre feuilles, recueil collectif composé de quatre textes et quatre dessins d'André Breton : Alouette du parloir, Lise Deharme : Le Vrai jour, Julien Gracq : Les Yeux bien ouverts & Jean Tardieu : Madrépore ou l'architecte imaginaire, éditions Grasset[4].
Cette année-là
Max Ernst reçoit le Grand prix de peinture de la Biennale de Venise[5]. Déclaration collective qui condamne cette concession aux honneurs[3].
Le poète et auteur dramatique croate Radovan Ivšić arrive à Paris et s'intègre au groupe surréaliste[6].
Yves Tanguy n'est pas retenu pour la Biennale de Venise dont le thème est l'« Art fantastique »[7].
En Belgique, parution du premier numéro de la revue Les Lèvres nues dirigée par Marcel Mariën[8].
↑Breton, OC4, p. XXVI & p. 5. André Breton a dit son texte sur Paris Inter, diffusé le 20 octobre 1953.
↑Max Ernst à Pierre Descargues : « Jean Arp a reçu le grand prix de sculpture [...] et Joan Miró celui de la gravure. C'était l'année de la reconnaissance internationale du Surréalisme », propos cités dans Marc Dachy, Archives Dada. Chroniques, éditions Hazan, Paris, 2005 (ISBN2-7541-0009-1), p. 40.
↑Reproduction dans Surréalisme un siècle d'avance, Télérama, HS no 249, septembre 2024, p. 23.
↑20 × 16 cm. Galerie Pangée, Montréal. Reproduction dans (fr + en) Alix Agret (dir.) et Dominique Païni (dir.), Surréalisme au féminin ? (catalogue de l'exposition présentée du 31 mars au 10 septembre 2023 au Musée de Montmartre-Jardins Renoir), In fine/Musée de Montmartre, (ISBN978-2-38203-116-2), p. 100.
↑Reproduction dans Surréalisme, 2024, catalogue de l'exposition du centenaire, Centre Pompidou (ISBN978-2-84426-988-1), p. 75.