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Équipe Louise O'Sullivan – Parti Montréal-Ville-Marie
Afin d'attirer plus d'entreprises à Montréal, pour favoriser la création d'emplois et de richesses, le Parti Montréal - Ville-Marie proposait de créer des abris fiscaux. En outre, il proposait d’améliorer les relations de l’administration municipale avec ses employés[2].
Le , le Parti Montréal - Ville-Marie a demandé au gouvernement du Québec que le nouveau commissaire à l’éthique ait juridiction sur les élus de la ville de Montréal afin de mieux protéger les citoyens. Le Parti Montréal - Ville-Marie a demandé aux autres partis politiques d’adopter cette proposition pour mettre fin à ce qu'il qualifie de « laxisme qui sévit actuellement à Montréal »[6].
Réduction du nombre d’élus
Alors que Louise O’Sullivan présentait, le , des candidats pour l’arrondissement de Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce[7], elle a rappelé que le Parti Montréal - Ville-Marie s’engage, s’il est porté au pouvoir, à réduire de moitié le nombre d’élus municipaux à Montréal, ce qui permettra de diminuer considérablement la lourdeur des structures actuelles et d'alléger le fardeau fiscal des citoyens[8],[9].
Environnement
L’environnement était une des priorités électorales du Parti Montréal - Ville-Marie. C’est ainsi qu'il souhaitait protéger le Mont Royal et condamnait le projet Marianopolis qui mettait en danger la protection des espaces verts encore présents sur la montagne. Le plan de protection de la montagne à l'époque était insuffisant, selon le parti, et ne faisait que donner bonne conscience aux élus de l’administration. Au contraire, le parti souhaitait que la ville de Montréal acquière les anciens terrains des Sulpiciens, pour en faire un lieu patrimonial et récréatif, pour protéger les espaces verts en danger et pour que ces terrains soient ainsi redonnés à la population qui aura accès à ces lieux. Il s’agissait d’un engagement du parti, une fois porté au pouvoir[10].
Parcomètres
En compagnie de nombreux dirigeants de restaurants, d’entrepreneurs et de propriétaires de bâtiments commerciaux du centre-ville de Montréal affectés par cette situation, le Parti Montréal - Ville-Marie a dénoncé la révision de la réglementation des parcomètres de Montréal qui tuait leurs chiffres d'affaires[réf. nécessaire], lors d’une conférence de presse tenue le mardi par Louise O’Sullivan et des membres de son équipe[11].
Manifestation contre la brutalité policière
Le , le Parti Montréal - Ville-Marie a réagi face au vandalisme qui s’est produit lors de la manifestation du Collectif opposé à la brutalité policière, tenue la veille[12]. Il promettait, une fois porté au pouvoir, de refuser catégoriquement l’émission de permis de manifester (qui ne sont toutefois pas nécessaires pour tenir une manifestation au Canada) dans le cas de rassemblements mal encadrés et régis par la désobéissance civile. Il condamnait le laisser-aller de l’administration actuelle, alors que ce type de situations ternissaient la réputation de Montréal et venaient déranger la vie des citoyens.