Collection de documens[9] inédits concernant l'histoire de Belgique, Bruxelles, 1833-1835, trois volumes.
Rapport à monsieur le ministre de l'intérieur, sur différentes séries de documents concernant l'histoire de la Belgique, qui sont conservées dans les archives de l'ancienne Chambre des comptes de Flandre, à Lille, Bruxelles, M. Hayez, 1841.
Correspondance de Philippe II sur les affaires des Pays-Bas, Librairie Ancienne et Moderne, Bruxelles-Gand-Leipzig, 1851.
Relations des ambassadeurs vénitiens sur Charles-Quint et Philippe II, Bruxelles, 1855.
Actes des États généraux des Pays-Bas. 1576-1585, Bruxelles, 1861-1866.
^Imagine extrasă din: Charles Piot, Notice sur Louis-Prosper Gachard, membre de l'Académie, In: Annuaire de l'Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique, 54 (1888), 193-236.)
^fr „Documens” est l'orthographe correcte du pluriel à l'époque. Lire entre autres : F. Raymond, Dictionnaire général de la langue française et vocabulaire, 1832: "On supprime communément le t dans le pluriel des mots terminés en ant ou ent , les enfans, les monumens...", ainsi que : M. Restaut, avocat au Parlement, Traité de l’orthographe françoise, en forme de dictionnaire, Poitiers, 1745, p. Ii : "DU PLURIEL : Toute la difficulté roule donc sur les mots en ant et en ent. Danet dans son Dictionnaire François, dit que les mots qui finissent en ant ou en ent au singulier, prennent au pluriel une s au lieu du t final, et qu'ainsi sentiment fait sentimens au pluriel. Il faut convenir que cette Orthographe est très-ancienne, comme on le voit par une Grammaire Françoise imprimée à Orléans en 1618 , et donnée par Charles Maupas Bloisien. J'ai cependant remarqué qu'on trouve dans tous les meilleurs Livres les mots dents, lents, vents, et quelques autres, avec un t et une s au pluriel. MM. de l'Académie dans les premieres Editions de leur Dictionnaire conservoient le t dans plusieurs mots.".