En same de Skolt, le G barré est utilisé pour représenter une consonne fricative vélaire voisée [ɣ]. Sa graphie est formée d’un G et d’une barre à travers sa descendante pour la minuscule et à travers son fût droit pour la majuscule[1],[2].
Le g barré ‹ ǥ › a été utilisé en philologie ou linguistique germanique pour noté une consonne fricative vélaire voisée [ɣ], par exemple par Fritz Burg dans une étude des écrits runiquesvieux-norrois publiée en 1885[3], ou par C. A. E. Jessen dans son alphabet phonétique présenté en 1861[4].
En kadiwéu, le G barré est utilisé pour représenter une consonne occlusive uvulaire voisée [ɢ]. Sa graphie est formée d’un G et d’une barre à travers son contrepoinçon[7].
Association phonétique international, « akt ɔfisjɛl », lə mɛ:trə fɔnetik [Le Maître phonétique], no 1, , p. 20
Association phonétique internationale, Exposé des principes de l’Association phonétique internationale, Leipzig, B. G. Teubner, (lire en ligne)
Association phonétique international, « desizjɔ̃ ofisjɛl », lə mɛːtrə fɔnetik [Le Maître phonétique], , p. 40–42
(es) Katia de la Cruz García, Proyecto pedagógico para el área de lenguas en el centro etnoeducativo Ette Ennaka, hacia la construcción del proyecto linguistico pedagógico, Barranquilla, Universidad del Atlántico (lire en ligne)
(de) Fritz Burg, Die älteren nordischen Runeninschriften: Eine sprachwissenschaftliche Untersuchung, Berlin, Weidmannsche Buchhandlung, (lire en ligne)
(en) Michael Everson, « Skolt Sami », dans The Alphabets of Europe, , 1re éd. (lire en ligne)
(da) C. A. E. Jessen, Om stavelsemåls og „toneholds” gengivelse i lydskrift ; De almindeligst kendte levende sprogs lydbetegnelse sammenstillet med lydskriftens, vol. 2, , 51-69 p. (lire en ligne)
Mikko Korhonen, Jouni Mosnikoff et Pekka Sammallahti, Koltansaamen opas, Helsinki, coll. « Castrenianumin toimitteita » (no 4),
(es) Sindy Paola Narváez Escobar, « La apropiación del léxico Ette Taara en el ciclo Moomate de la Institución Etnoeducativa Departamental Ette Ennaka », Lingüística y Literatura, vol. 41, no 78, , p. 352-383 (DOI10.17533/udea.lyl.n78a14)