Sa proximité avec Matthieu Pigasse[6] dont elle gère la communication, la mène à la direction des Inrockuptibles[2].
En , elle est nommée secrétaire générale des Nouvelles Editions Indépendantes, chargée des relations sociales et de la communication interne et externe[7]. En , elle est nommée directrice générale des Inrockuptibles à la place de Frédéric Roblot[8] qui refuse d'appliquer un plan de départ[9]. En vue de réduire la masse salariale[10], Elisabeth Laborde met en place en 2018 une rupture conventionnelle collective[10] à l'issue de laquelle une trentaine de salariés, soit un tiers des effectifs, quittent le journal dont certaines plumes historiques telles Jean-Daniel Beauvallet ou Serge Kaganski[11].
En 2017, suite à la publication d’un article des Inrocks le 7 juillet de la même année, le “Collectif pour un festival respectueux de tous” porte plainte contre l’auteur de l’article Nicolas Mole, Élisabeth Laborde en tant que responsable de la publication et deux cadres de Hellfest production[12],[13]. En juin 2022, le collectif se désiste, mettant un terme aux poursuites[14].
À l'été 2019, elle est licenciée des Inrockuptibles créant « une vive émotion au sein de la rédaction » d'après Mediapart[15]. Selon Le Canard enchaîné, son départ est dû à une chute vertigineuse des ventes et un déficit devenu chronique[16],[17]. Emmanuel Hoog la remplace en tant que directeur général et directeur de la publication[18].
Têtu
En [19], elle est nommée directrice générale de Têtu[20],[21]. Elle participe au développement et à la diversification de la plateforme média tant sur de nouveaux supports (podcasts, vidéos...) que sur l’événementiel[22].
Elila
En , Elisabeth Laborde quitte Têtu[23] pour fonder son agence de conseil en communication, gestion de crise, promotion de l’égalité femmes-hommes[24], de la diversité et de l’inclusion[25].