Araki était chez lui en et a laissé des lettres à sa famille à être ouvertes après sa mort. L'une de ces lettres dit :
S'il vous plaît trouver du plaisir dans votre admiration de ma fidélité à l'empereur et de ma dévotion à mes parents.
Je n'ai pas de regrets. Je me dirige vers mon destin[4].
Quelques-uns de ses cheveux et des morceaux d'ongles (qui ont été coupés avant son départ en mission) ont été retournés à sa famille pour l'enterrement à Kiryū[1]. En 2004, Tsuneyuki Mori (également écrit Mohri) publie un livre intitulé Yuki wa juunanasai tokkou de shinda (« Yuki meurt à 17 ans dans une attaque kamikaze ») sur sa vie. Mori est l'un des spécialistes japonais reconnus des pilotes kamikazes et de leur monde[5].