En 2017, elle publie La lessive et autres histoires de femmes migrantes. Elle met en mots les récits de quinze femmes arrivées à Genève[3].En 2023, elle publie L’été où mon père est mort[4]. Son père est un intellectuel communiste, juif rescapé de la shoah[5]. Elle cherche à comprendre son père dont les convictions politiques sont ébranlées lorsqu'il lit à Genève, chez sa fille, Etre sans destin d’Imre Kertész[6].
Publications
La lessive et autres histoires de femmes migrantes, Lausanne, Éditions d'En bas, , 211 p. (ISBN978-2-8290-0547-3)
L'été où mon père est mort, Paris, Éditions de l'Antilope, , 332 p. (ISBN978-2-37951-118-9)
↑« « L’été où mon père est mort », de Yudit Kiss : chronique d’un parent communiste emmuré », La Croix, (ISSN0242-6056, lire en ligne, consulté le )
↑« Dans «L’été où mon père est mort», Yudit Kiss dépeint l’aveuglement et l’amour d’un homme fidèle à l’idéologie communiste », Le Temps, (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le )