En 1914 paraît une Histoire des mathématiques au Japon écrite avec l'historien américain des mathématiques David Eugene Smith. Elle est suivie par d'autres monographies, mais parues seulement en japonais. Dans une série d'essais parus dans les années 1930, il s'intéresse particulièrement au mathématicien Seki Takakazu.
Après les premières approches du missionnaire britannique Alexander Wylie, Mikami est celui qui a donné à l'Occident une connaissance approfondie de l'histoire chinoise des mathématiques. Ses livres sur les mathématiques japonaises sont des œuvres classiques.
↑Yoshio Mikami, The Development of Mathematics in China and Japan, 1913, Library of Congress 61-13497
Écrits
Mathematical papers from the far east, Zeitschrift für Mathematik und Physik, Band 28, Teubner, Leipzig und Stechert, New York 1910
Development of mathematics in China and Japan, Teubner, Leipzig (Abhandlungen zur Geschichte der Mathematik, Band 30) 1912 und Stechert, New York 1913, Chelsea Reprint 1961
(ja) Bunkashi jōyori Mitaru Nihon no Sūgaku (文化史上より見たる日本の數學, wörtlich: „Japanische Mathematik aus dem Blickwinkel der Kulturgeschichte“). Tokio, Sogemasha 1947
(ja) Probleme Magischer Quadrate in der japanischen Mathematik, Tokio 1917