En , il fait partie de la délégation de l’opposition armé lors des négociations à Astana. Il se retire cependant des pourparlers en dénonçant le rôle joué par l'Iran dans la mise en place des zones de sécurité : « Les Iraniens tentent de se présenter et d’agir en tant que garants. C’est quelque chose que nous ne pouvons accepter. Depuis le premier jour, ils tuent des civils sur le terrain »[7].
En , il est membre du centre des opérations conjointes lors de la bataille d'Afrine[8],[9]. Il fait ensuite partie des délégations des groupes rebelles qui prennent part aux négociations d'Astana[10].
Début 2018, Yasser Abdel Rahim est destitué de son commandement de Faylaq al-Cham[11]. Il rejoint alors Faylaq al-Majed, dont il devient le commandant militaire[12]. En , il participe à l'opération Source de paix[13]. Il apparaît notamment sur une vidéo où des rebelles de Faylaq al-Majed insultent et menacent une combattante des YPJ faite prisonnière[13].