En 1910, après une longue traque, Yao Djè et plusieurs de ses lieutenants furent capturés à Kpouèbo. Ils furent emprisonnés à Toumodi, où Yao Djè succomba sous la torture. Son engagement et son leadership font de lui un symbole de la résistancebaoulé et un héros pour son peuple, incarnant la lutte contre l'oppressioncoloniale en Côte d'Ivoire[3],[5],[6].
Notes et Références
↑Jean Noël Loucou, Côte d’Ivoire : Les résistances à la conquête coloniale, Les Éditions du CERAP, (ISBN2-915352-31-3), p. 99
↑Fabio Viti, « Chapitre 5 : La guerre des N’gban (1894-1910) », dans La guerre au Baoulé : Une ethnographie historique du fait guerrier, Éditions de la Maison des sciences de l’homme, coll. « Afrique(s) », , 203–280 p. (ISBN978-2-7351-2998-0, lire en ligne)
↑Fabio Viti, La guerre au Baoulé : Une ethnographie historique du fait guerrier, Éditions de la Maison des sciences de l’homme, coll. « Afrique(s) », (ISBN978-2-7351-2998-0, lire en ligne)