Dans un câble diplomatique datant du et rendu public par Wikileaks, Wu Den-yih affirme qu'il compte sur les achats d'armes auprès des États-Unis pour préserver la capacité d'auto-défense de Taïwan[3].
En , il se rend au Burkina Faso pour participer à la cérémonie d'inauguration de la réélection du président Blaise Compaoré[4].
En , Ma Ying-Jeou, chef de l'État sortant et candidat du KMT, remporte l'élection présidentielle de Taïwan avec 51,6 % des suffrages. Wu Den-yih est élu vice-président[5] et prend ses fonctions le suivant.
En , il critique ouvertement la politique restreinte de la Chine vis-à-vis de l'exemption de visas accordés aux voyageurs internationaux[7].
En , Wu Den-yih participe à la cérémonie de canonisation des papes Jean XXIII et Jean-Paul II, devenant le premier vice-président chinois à assister à une canonisation[8].
En , il annonce sa démission de son poste de vice-président du KMT[9].