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En 1996, il écrit une enquête intitulée Dominici non coupable, les assassins retrouvés sur l'hypothèse controversée d'une conspiration ayant impliqué les services secrets soviétiques dans l'assassinat de la famille Drummond et disculpant l'accusé Gaston Dominici. Une adaptation du livre est réalisée par Pierre Boutron en 2003 pour TF1, L'affaire Dominici avec Michel Serrault et Michel Blanc[2].
William Reymond s'est particulièrement intéressé à l'assassinat de John F. Kennedy[2] sur lequel il a écrit deux ouvrages, JFK, autopsie d'un crime d'Etat (Flammarion 1998) étude sur l'assassinat dont il expose d'importantes archives provenant de différents services de renseignements gouvernementaux et l'hypothèse d'une conspiration impliquant des financiers d'extrême-droite combinée à des Cubains anti-Castro ainsi que des soldats perdus de l'OAS, et JFK, le dernier témoin (Flammarion 2003) se fondant sur le témoignage de Billie Sol Estes, milliardaire ruiné qui fut pendant de nombreuses années l'un des financiers de Lyndon B. Johnson, et qui implique celui-ci dans l'assassinat. Ce dernier ouvrage a donné lieu à un documentaire réalisé par Bernard Nicolas en 2001 pour Canal plus, JFK, autopsie d'un complot.
En 2001, il publie Mafia S.A. Les secrets du crime organisé (Flammarion) où avec des documents inédits, témoignages de procureurs, de magistrats, de policiers, de victimes et de mafiosi repentis, il retrace l'histoire mondiale et l'évolution du crime organisé.