Il fut également à la tête d’une plantation de coton où vivaient une quarantaine d’esclaves[1].
Il meurt assassiné (exécuté selon la coutume) par des Creeks des Villes Hautes (Red Sticks c.-à-d. Bâtons Rouges) qui lui reprochent notamment son rôle dans la ratification et dans l'application du traité d'Indian Springs de 1821 puis de celui de 1825[2].
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
(en) Frederick E. Hoxie, « McIntosh, William, Jr. », dans Encyclopedia of North American Indians, Boston, Houghton Mifflin Company, (ISBN978-0-585-07764-2)
(en) George Chapman, Chief William McIntosh : a man of two worlds, Atlanta, Cherokee Pub. Co., , 157 p. (ISBN978-0-87797-133-7, OCLC17876499)
(en) Harriet Turner Porter Corbin et Carl C. Burdick, A history and genealogy of Chief William McIntosh, Jr., and his known descendents, Long Beach, , 226 p. (OCLC1828064)