La voie d'essai, d'une longueur de 1 370 m, est soutenue par 136 potences construites en acier, béton et bois. Les piles sont éloignées de 30 m les unes des autres[1].
La poutre creuse, dont la face inférieure est ouverte pour permettre la fixation de la suspension, guide le métro et repose, par l'intermédiaire de suspentes, à des poteaux ou à des arcs[5]. À l'intérieur de la poutre se trouvent les voies de roulement en bois lamellé qui supportent les bogies, l'alimentation en électricité et le système de signalisation[5].
La voie d'essai se compose d'une partie de son système de roulement placée à l’abri des intempéries et d'une partie qui ne l'est pas[6] ainsi que d'un système d'aiguillage[5].
↑ abc et dPhilippe Renaud, « Voici 57 ans, un métro circulait dans le ciel de Châteauneuf-sur-Loire », La République du Centre, , ? (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bPhilippe Renaud, « Métro aérien suspendu : la France jette l'éponge... Le Japon s'empare du projet », La République du Centre, , ? (lire en ligne, consulté le ).
↑L'article de la République du Centre mentionne une date improbable (juillet 1961), date à laquelle Marc Jacquet n'est pas ministre.
Henriot, « Le métro aérien suspendu », Techniques et sciences municipales : organe de l'Association générale des hygiénistes et techniciens municipaux, vol. 61e, no 2, , p. 57-64 (lire en ligne, consulté le ).
Collectif, « Une visite au métro suspendu de Châteauneuf-sur-Loire », Techniques et sciences municipales : organe de l'Association générale des hygiénistes et techniciens municipaux, vol. 60e, no 12, , p. 372 (lire en ligne, consulté le ).
Collectif, « Réponses à des questions écrites. Questions d'intérêt général. Transports », Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris, vol. 82, no 147, , p. 1463-1464 (lire en ligne, consulté le ).