Loup Espargilière, journaliste[1], et Juliette Quef conçoivent depuis les environs de Gourdon, dans le Lot, une lettre d'information dédiée à l'environnement et l'écologie, en [2]. Elle évolue en vers un site d'information[1],[3].
Le modèle économique repose sur les dons de particuliers, la vente d’abonnements aux collectivités, ainsi que sur des formations dispensées aux entreprises. L'équipe, restreinte, comprend un journaliste en CDI et deux pigistes réguliers[6]. Le média conclut en une opération de financement participatif à hauteur de 32 000 euros, destinée à préserver son indépendance[7],[8].
Reconnu comme média d’information politique et générale, Vert revendique 15 000 abonnés en [6].
Ligne éditoriale
Le média adopte une approche généraliste et pédagogique de l'information sur l'environnement et l'écologie[6].
Il promeut un projet de charte « pour un journalisme écologique »[9], associant citoyens, scientifiques du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, l'École supérieure de journalisme de Lille, ainsi que des journalistes. Celle-ci vise à « réconcilier citoyens et journalistes autour de l'information sur le climat », et à modifier des représentations médiatiques stéréotypées, et erronées, de phénomènes comme la canicule[8],[10],[11]. La charte[12] est présentée le , avec une importante liste de signataires[13].