Il signe d'abord ses estampes du nom de « Kunimasa » ou « Baidō Kunimasa ». Vers 1889, il commence à les signer « Kunisada », «Baidō Kunisada » ou « Kōchōrō Kunisada ». En 1892, il signe « Hōsai », « Kōchōrō Hōsai », « Baidō Hōsai » et « Utagawa Hōsai »[2].
(en) Amy Reigle Newland, « In the Shadow of Another, Introducing the 'Meiji no Edokko' Baidō Hōsai », Society for Japanese Arts(en), no 89, , p. 5-26.