Cette section contient une ou plusieurs listes. Le texte gagnerait à être rédigé sous la forme de paragraphes synthétiques. Les listes peuvent demeurer si elles sont introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents éléments (avril 2024).
Première, le : Utoya : Obertone entonne la chanson du chevalier Breivik[1]
L'Express, le : « L'exactitude est la politesse des enquêteurs et, minute par minute, Obertone décrit sur 121 pages l'itinéraire sanglant — qu'on peut suivre sur une carte — du « dernier Viking » autoproclamé... Mais Laurent Obertone ne se contente pas d'un rapport circonstancié, il se met dans la peau de Breivik... Des esprits chagrins reprocheront sans doute à Laurent Obertone une complaisance morbide, là où il faudrait évoquer De sang-froid, de Truman Capote, récit du meurtre de quatre membres de la famille Clutter dans un hameau du Kansas, en 1959. Dans Utøya, on retrouve cette même obsession du détail et du recoupement. Ce refus de moraliser. Cette volonté de décrire, et d'interroger, le mal sans afféterie. » (Emmanuel Hecht)[2]
Le Figaro, le : Utøya, Laurent Obertone dans la tête d'Anders Breivik[3]
Le Soir, le : Laurent Obertone dans la tête d'Anders Breivik[4]