Ustou est une commune rurale qui compte 264 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 3 391 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Ustouens ou Ustouennes.
La route qui traverse la vallée part du Pont-de-la-Taule jusqu’au col de Latrape qui permet de rejoindre Aulus-les-Bains. Elle est traversée par les rivières l'Ossèse et l'Alet qui se jettent dans le Salat au Pont-de-la-Taule.
La commune d’Ustou qui s’étale tout le long de la vallée est composée des villages de Saint-Lizier, du Trein et de Sérac, chacun ayant son église et son cimetière, ainsi que de multiples hameaux (Escots, Bielle…). À noter que le hameau de Rouze, qui domine Couflens et la vallée du Haut-Salat, dépend de la commune d’Ustou.
La commune est frontalière avec l’Espagne. On peut se rendre en Espagne uniquement à pied par les ports de Marterat (2 217 m) et de Couillac (2 416 m). En 2004 a été créée la transfrontalière Ustou - Tavascan durant laquelle une course passant par le port de Marterat permet de rejoindre Ossèse à Tavascan en Espagne.
La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Elle est traversée par la Faille nord-pyrénéenne, qui sépare la Zone axiale pyrénéenne (ZA) ou haute chaîne primaire de la Zone nord-pyrénéenne (ZNP), au nord. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de rochessédimentaires et plutoniques datant pour certaines du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma, et pour d'autres du Paléozoïque, une ère géologique qui s'étend de −541 à −252,2 Ma. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans les feuilles « n°1074 - Saint-Girons » et « n°1086 - Aulus-les-Bains » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[8],[9] et leurs notices associées[10],[11].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 98,34 km2[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 99,11 km2[9]. Son relief est particulièrement escarpé puisque la dénivelée maximale atteint 2 243 mètres. L'altitude du territoire varie entre 560 m et 2 803 m[15].
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographiqueAdour-Garonne[16]. Elle est drainée par l'Alet, le ruisseau de Bielle, l'Ossèse, Goute de Baus, Goute de Soubiernoux, Goute du Tech, le ruisseau d'Ardio, le ruisseau de Ber, le ruisseau de Fraychet, le ruisseau de Gérac, le ruisseau de Guzet, le ruisseau de Latrape, le ruisseau de Lubac, le ruisseau de Sarcenadot, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 109 km de longueur totale[17],[18].
L'Alet, d'une longueur totale de 19,6 km, prend sa source dans la commune d'Ustou et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans le Salat à Seix, après avoir traversé 3 communes[19].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 177 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[20]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Val-de-Sos à 19 km à vol d'oiseau[22], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 175,9 mm[23],[24]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[25].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[29] :
les « bois de Mirabat, d´Oust et du Picou de Géu » (1 670 ha), couvrant 5 communes du département[30] ;
le « massif du Pic de Certescans » (16 070 ha), couvrant 4 communes du département[31],
le « massif du Mont Valier » (0 ha), couvrant 9 communes du département[33] ;
les « massifs du mont Valier, du Bouirex et montagnes de Sourroque » (32 357 ha), couvrant 18 communes du département[34] ;
les « montagnes d'Ercé, d'Oust et de Massat » (30 350 ha), couvrant 13 communes du département[35].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Ustou.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Ustou est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[36].
Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[37],[38].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (48 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (24 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (19,3 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), prairies (1,6 %), zones urbanisées (0,3 %)[39]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Ustou est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[40],[41].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, l'Alet, ou ruissellement d'un versant[42].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune d'Ustou[43]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[44].
La commune est exposée au risque d'avalanche lié notamment à la pratique du ski compte tenu d’une fréquentation hivernale croissante. Un plan d’Intervention et de déclenchement des avalanches (PIDA) a en particulier été élaboré[45].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation, mouvement de terrain et avalanche approuvé le 23 septembre 2011[46].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Ustou est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[47].
Histoire
Les premières traces d'occupation de la vallée datent du Néolithique : des archéologues amateurs ont signalé avoir trouvé, près de l'entrée de la grotte de Font Sainte et d'une autre anfractuosité située de l'autre côté de la rivière, des outils taillés et des ossements enfouis. Par ailleurs, plusieurs "peyros quillados" (pierres levées) sont signalées dans la vallée, ainsi que des formations de type cromlechs à de plus hautes altitudes.
La toponymie des villages révèle des influences gallo-romaines (Bielle, Sérac, Portet), pré-indo-européennes (Ariail, Alet), puis plus contemporaines (Le Trein, Escots, Pont de la Taule), indiquant une occupation humaine continue depuis au moins 2 000 ans.
De l'époque romaine, la vallée ne conserve qu'un pont (pont d'Ocques, dit "pont romain" à Saint-Lizier-d'Ustou), des monnaies vespasiennes retrouvées près du hameau de Rouze, et une stèle de marbre gravée exhumée près de la source de Font Sainte où un autel primitif devait exister avant la christianisation.
Le Moyen Âge a conservé de nombreuses mais discrètes traces, la plus secrète étant l'existence possible autour de l'an mil, d'une place forte au sommet de la colline boisée stratégiquement placée au centre de la vallée et nommée aujourd'hui "tuc de Gaspard" (voir au sommet, présence de dolmens - non authentifiés -) sobriquet qui pourrait avoir été le fruit de la transformation du terme "As pards" pour "Las pareds" (les murs). Le rôle de la vallée, passage vers l'Espagne, s'est confirmé au cours des siècles et la route vers le port de Marterat a été à la fois celle des échanges et des invasions. Aussi, plusieurs châteaux et tours à feu plus ou moins élaborés ont été édifiés pour la surveiller et transmettre des signes d'alerte à la cité de Saint-Lizier, à l'époque capitale du Couserans. À signaler notamment les belles et anciennes ruines des châteaux de la Garde, aux remparts et au donjon bien conservés), et Mirabat, dit "château de Charlemagne", l'un des plus hauts des Pyrénées françaises. À signaler également sur les points hauts, d'anciennes tours de guet aujourd'hui disparues au tuc de Peyre mensongère (la pierre messagère) et au picou de la Mire (le sommet du guet).
La vallée a été maintes fois pillée et envahie jusqu'au XVIIIe siècle où les Miquelets incendièrent le château du Trein et emmenèrent le seigneur du lieu avant de le libérer contre rançon. Plus tard, la « guerre des Demoiselles » a éclaté entre les habitants et les propriétaires qui avaient accaparé les forêts pour alimenter les forges.
La vallée compte quatre églises, datant des XVIIe et XVIIIe siècles, ayant remplacé des édifices plus anciens dont le seul encore visible est la vieille église du Trein, datée du XIIe ou XIIIe siècle au vu de sa facture romane primitive et des restes de fresques sur les murs du chœur, près des ruines du château des Pointis. De nombreuses chapelles et oratoires témoignent de la foi des habitants de la vallée. L'église de Saint-Lizier d'Ustou possède des fresques de Jean-Bernard Lalanne, peintre saint-gironnais, celle-ci représentent des moments plus ou moins romancés de la commune (tel l'évêque saint Lizier dont l'âne fut tué par l'ours..)
La vallée d’Ustou était surtout connue au XIXe siècle pour ses montreurs d’ours ainsi que ses colporteurs. Au XIXe siècle, alors que la surpopulation entraînait une pénurie de travail, le port de Marterat était traversé par les saisonniers pour aller louer leurs bras en Catalogne, notamment pour les moissons vers la Séu de Urgell et l'Alt Urgell...
Des mines ont été exploitées dans la montagne, notamment vers Ossèse, Cagateille et Carboire où le dernier puits (tungstène, plomb argentifère) a fermé en 1953.
En 1971, création au col de Latrape des premières remontées mécaniques de la station de ski de Guzet. Il avait été créé dans les années 1950/1955 l'O.U.R.S. (Olympique Ustouéens Rapid Ski) pour les pistes de "La Trappe". La station s'est progressivement développée par des modes de gestion tantôt confiés au secteur privé, tantôt au secteur public. Avec une intégration très réussie dans l'environnement, une liaison train-bus depuis Toulouse, Guzet compte aujourd'hui 40 km de pistes diverses, un dispositif de neige artificielle (canons à neige...) et des infrastructures adaptées.
En juillet et , après plus de 100 ans d'absence, le bouquetin ibérique(Capra pyrenaica victoriae) a été réintroduit[48] par plusieurs lâchers dans les Pyrénées françaises en divers lieux et notamment à Ustou, au cirque de Cagateille. Cette année-là, ce sont 13 femelles et 9 mâles, capturés dans la Sierra de Guadarrama qui ont été lâchés, l’un d’entre eux n’a pas survécu, vraisemblablement victime d’un choc thermique.
Un jeune ours mâle a été retrouvé tué par balle le dans le cirque de Gérac sur la commune. Le cadavre a été hélitreuillé pour expertise dans le cadre de l'enquête[49].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[53].
En 2021, la commune comptait 264 habitants[Note 5], en évolution de −15,92 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 156 personnes, parmi lesquelles on compte 74,3 % d'actifs (65,5 % ayant un emploi et 8,8 % de chômeurs) et 25,7 % d'inactifs[Note 7],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 7]. Elle compte 137 emplois en 2018, contre 134 en 2013 et 139 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 105, soit un indicateur de concentration d'emploi de 129,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,6 %[I 8].
Sur ces 105 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 67 travaillent dans la commune, soit 64 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 81 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 15 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
62 établissements[Note 8] sont implantés à Ustou au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 11].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
62
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
1
1,6 %
(12,9 %)
Construction
6
9,7 %
(14,2 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
26
41,9 %
(27,5 %)
Activités immobilières
3
4,8 %
(4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
9
14,5 %
(13,2 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
14
22,6 %
(14,4 %)
Autres activités de services
3
4,8 %
(8,8 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 41,9 % du nombre total d'établissements de la commune (26 sur les 62 entreprises implantées à Ustou), contre 27,5 % au niveau départemental[I 12].
Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[56] :
Guzet Pyrénées, téléphériques et remontées mécaniques (1 536 k€)
SASU 264, hébergement touristique et autre hébergement de courte durée (34 k€)
Quoi de 9, ingénierie, études techniques (3 k€)
Agriculture
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région pyrénéenne »[57]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'élevage d'ovins et de caprins[58].
1988
2000
2010
Exploitations
35
24
19
Superficie agricole utilisée (ha)
563
666
456
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 35 lors du recensement agricole[Note 11] de 1988 à 24 en 2000 puis à 19 en 2010[58], soit une baisse de 46 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations[60]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 563 ha en 1988 à 456 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 16 à 24 ha[58].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Tous deux inscrits à l'inventaire des monuments historiques, le château de Mirabat et en contrebas le château de la Garde étaient d'anciens postes de garde élevés pour prévenir des invasions.
La commune est dotée de panneaux de basket 3x3 au Trein d'Ustou avec un nouvel ensemble sportif depuis 2023.
Les clubs de rugby à XV les plus proches sont basés à Castillon-en-Couserans et Seix tous unis au niveau éducatif à l'école de rugby basée à Saint Girons.
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Personnalités liées à la commune
Michel Faur (1758-1797), imprimeur en Mayenne durant la Révolution.
Hippolyte Cazaux (1770-1846), né à Ustou, colonel de la Révolution et de l'Empire.
↑Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[59].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Hélène Ménal, « Ours abattu dans les Pyrénées : Où en est l’enquête sur la mort du jeune mâle tué par arme à feu en Ariège ? », 20 minutes, (lire en ligne)
↑Denis Mirouse, « Ustou (Saint-Lizier) – Château de la Coste, hameau du Trein », [notice archéologique], ADLFI. Archéologie de la France, mis en ligne le 15 mai 2017 (lire en ligne)