L'université fut fondée en 1856 par une collaboration entre la Conférence de l'Église épiscopale méthodiste de Cincinnati, Ohio et l'Église épiscopale méthodiste africaine pour apporter une éducation classique et une formation pédagogique aux jeunes étudiants noirs. C'est la plus ancienne des universités historiquement noires ( HBCU)[4],[5]. À la fin du XIXe siècle, l'université élargit sa mission pour inclure les étudiants noirs d'Afrique du Sud.
Enseignements dispensé
L'université délivre des diplômes allant du baccalauréat universitaire (licence) au master 2, notamment dans les secteurs de la santé, de la biologie, de la gestion des entreprises, de la communication, des sciences de l'information, du droit[6],[7].
(en-US) W. E. Burghardt Dubois, « The Future of Wilberforce University », The Journal of Negro Education, Vol. 9, No. 4, , p. 553-570 (18 pages) (lire en ligne),
(en-US) Charles Killian, « Wilberforce University: The Reality of Bishop Payne's Dream », Negro History Bulletin, Vol. 34, No. 4, , p. 83-87 (5 pages) (lire en ligne),
(en-US) David A. Gerber, « Segregation, Separatism, and Sectarianism: Ohio Blacks and Wilberforce University's Effort to Obtain Federal Funds, 1891 », The Journal of Negro Education, Vol. 45, No. 1, , p. 1-20 (20 pages) (lire en ligne),
(en-US) « Wilberforce University Awards Its Most Accomplished Students with Superior Living Quarters », The Journal of Blacks in Higher Education, No. 34, , p. 138 (1 page) (lire en ligne),