La LiCS est issu de la fusion, survenue le , entre l'Union libérale de Lituanie (LLS), l'Union centriste de Lituanie (LCS) et l'Union chrétienne-démocrate moderne (MKDS), sous la présidence d'Artūras Zuokas, maire de Vilnius et ancien vice-président de la LCS. La nouvelle formation réunit alors 22 députés sur 141.
Premier test électoral, les élections européennes de permettent à la LiCS de s'implanter dans la vie politique en obtenant 11,2 % des suffrages exprimés et deux sièges de députés européens sur 13.
En , sept députés, critiques de la direction de Zuokas, annoncent leur intention de quitter le parti et fondent, en , le Mouvement libéral de la République de Lituanie (LRLS). Dès le mois suivant, la LiCS rejoint la nouvelle coalition gouvernementale formée par le social-démocrate Gediminas Kirkilas, dans laquelle il dispose des ministères de l'Intérieur et de la Culture.
Les élections européennes de ayant conduit à un échec avec 3,3 % des voix et la perte des sièges sortants, Artūras Zuokas est remplacé à la présidence de la LiCS par Gintautas Babravičius. En , l'ancien ministre de la Santé Algis Čaplikas lui succède et mène à bien la fusion, en septembre suivant, avec le Parti de la résurrection nationale, qui avait perdu la moitié de ses députés depuis le début de la législature.
Dissolution
Lors des élections législatives d', le parti n'obtient que 2,07 % et perd tous ses sièges de députés.
Le , la LiCS fusionne avec le parti YES, fondé en 2011, pour former l'Union de la liberté.
Programme et idéologie
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Principaux résultats électoraux
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