Ulli Beier naît le à Chotwitz au sein d'une famille juive de classe moyenne[1]. Sa famille émigre en Palestine après l'arrivée au pouvoir des nazis[1].
Enseignant à l'université d'Ibadan au Nigeria, il est un écrivain et éditeur qui joue un rôle important dans la découverte et la diffusion de la littérature africaine[2].
En 1957 il fonde le magazine littéraireBlack Orpheus, puis le Mbari Club en 1961, un centre d’activités culturelles composé d’écrivains, d’artistes et de musiciens africains, proche de cette revue[3].
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
[Breitinger et Gibbs 2011] (en) Eckhard Breitinger et James Gibbs, « Ulli Beier », dans African Theatre: Media & performance, , 154 p. (lire en ligne).
[Carrère 2016] Ariane Carrère, La Genèse et autres récits de création, Hatier, , 128 p. (lire en ligne), p. 27.
[Falola, Genova et Heaton 2018] (en) Toyin Falola, Ann Genova et Matthew M. Heaton, « Beier , Ulli », dans Historical Dictionary of Nigeria, Rowman & Littlefield, , 504 p. (lire en ligne), p. 74.