Cinquième enfant d'une famille de pêcheurs, Txus revendique ses origines de la classe ouvrière[1].
Il vit à Tarragone jusqu'à l'âge de 37 ans[2], où il exerce le métier d'éducateur[3]. Il emménage finalement à Barcelone pour travailler dans le secteur social et se consacrer à la poésie queer[4], à la scène[5] et au militantisme[6].
Formé au théâtre et au cabaret selon Jango Edwards, son style de performance se base sur l'interaction avec le public et le sens de l'humour lesbien[7].
Avant sa transition de genre, il s'était défini comme une « senyora rara » (en français : une « dame rare ») sur les thèmes de la diversité sexuelle, du féminisme et des droits LGBTI[8]. Ses mises en scène, ses stand-up[9] et ses performances sont basées sur ses propres textes[10] ou ceux d'autres auteurs.
Il dit vouloir lutter « de façon indépendante » pour les libertés humaines[11] et en faveur des droits des animaux[12].
Œuvre
Txus García, Poesía para niñas bien, Barcelone, Edicions Bellatera, , 132 p. (ISBN978-84-7290-873-4)[13].
Txus García, Este amor, Barcelone, Edicions Bellatera, , 94 p. (ISBN978-8472908710).
Notes et références
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↑« Queerencias del cuerpo-corpus: la poesía de Rosario Aquím Chávez y de Txus García », XL Congreso del Instituto Internacional de literatura Iberoamericana, (lire en ligne).
↑Laguian, « Mujeres poetas que deshacen las normas de género: del canibalismo erótico al pornoterrorismo en la España del siglo XXI », Discurso pornográfico en las narrativas españolas del siglo XXI, Revista Pasavento de Estudios Hispánicos, Vol. VI, n.º 1, 2018, (lire en ligne).
↑« Negociando igualdad y diferencia. Políticas y poéticas LGTBQ+ en José Infante y Txus García », Entre otras/otros. Perspectivas queer en el mundo hispánico, InterAlia: A Journal of Queer Studies, (lire en ligne).
↑Lavergne, « L’écriture poétique érotique et lesbienne de Txus García et María Castrejón. Corps décomplexés et corpsrebelles. », «Le corps dans tous ses éclats – Corps dévoilés, exhibés et jouissants» – Université de Bourgogne-Franche-Comté., (lire en ligne).
↑« Mujeres poetas que deshacen las normas de género: del canibalismo erótico al pornoterrorismo en la España del siglo XXI », Revista Pasavento de Estudios Hispánicos, vol. VI, no 1, (lire en ligne).
↑(es) « Txus García », sur colectivo de poetas escénicos contagiosos, .
↑Lucie Lavergne, « Éros : marges et paradoxes
Une lecture du recueil Poesía para niñas bien de Txus García (1974) », Alkemie, Revue semestrielle de littérature et philosophie, 2015 – 1, vol. 15 « L’Éros », , p. 179 à 197 (lire en ligne)
Annexes
Bibliographie
Lucie Lavergne, « Éros : marges et paradoxes. Une lecture du recueil Poesía para niñas bien de Txus García (1974) », Alkemie, Revue semestrielle de littérature et philosophie, 2015 – 1, vol. 15 « L’Éros », , p. 179 à 197 (lire en ligne).
(en) Marta Fernández Herraiz et Kika Fumero, Lesbianas, así somos, Lo Que No Existe Producciones, S.L.U., (ISBN978-84-948603-8-6, lire en ligne)
Lucie Lavergne, « À l’assaut des lois du genre : lecture de Poesía para niñas bien de Txus García (2011) », TrOPICS, (lire en ligne, consulté le )
(es) Yasmina Romero Morales et Paula Cabrera Castro, Amor impossibilis : textos y pretextos de escritoras españolas (s. XX-XXI), Alfar, (ISBN978-84-7898-946-1 et 84-7898-946-3, OCLC1336497390).