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Développeur	Mattel Electronics (en)
Éditeur	Mattel Electronics (en)
Réalisateur	Keith Robinson
Date de sortie	1983
Genre	Jeu d'action
Mode de jeu	Solo
Plate-forme	Intellivision
Tron

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Tron: Solar Sailer est un jeu vidéo développé et édité par Mattel Electronics^[2]^,^[3], sorti en 1983 sur la console Intellivision^[3]. Il est le troisième et dernier d'une série de jeux (après Deadly Discs et Maze-A-Tron) tirés du film Tron produit par Walt Disney Pictures. Celui-ci est particulièrement basé sur la scène du voyage à bord d'un voilier solaire.

La cartouche de jeu est compatible^[4] avec le module de synthèse vocale Intellivoice^[3] de la console.

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Electronic Fun with Computer & Games décrit le jeu comme étant « La Belle et la Bête » de Mattel : beau à voir, mais affreux à jouer^[3]. Il le juge « ennuyeux » et « compliqué » et compare sa difficulté à celle de son prédécesseur Maze-A-Tron.

Références

↑ (es) Skyblasc, « Blue Sky Rangers: Programadores de Sueños », Retro Games, Megamultimedia, n^o 2,‎ novembre 2003, p. 48-49
↑ (en) Blue Sky Rangers, « TRON® Solar Sailer », sur BlueSkyRangers.com
↑ ^{a b c d et e} (en) Howard Polskin, « Solar Sailer », Electronic Fun with Computer & Games, n^o 9,‎ juillet 1983, p. 58-59
↑ Techniquement, le jeu peut tourner sans l'extension Intellivoice, mais certaines indications cruciales étant données uniquement par la synthèse vocale, le joueur peut très rapidement se retrouver à errer au hasard parmi les nombreux « secteurs » du labyrinthe.

[1] (es) Skyblasc, « Blue Sky Rangers: Programadores de Sueños », Retro Games, Megamultimedia, n^o 2,‎ novembre 2003, p. 48-49

[blueskyrangers-2] (en) Blue Sky Rangers, « TRON® Solar Sailer », sur BlueSkyRangers.com

[electronicfun-9-3] {a b c d et e} (en) Howard Polskin, « Solar Sailer », Electronic Fun with Computer & Games, n^o 9,‎ juillet 1983, p. 58-59

[4] Techniquement, le jeu peut tourner sans l'extension Intellivoice, mais certaines indications cruciales étant données uniquement par la synthèse vocale, le joueur peut très rapidement se retrouver à errer au hasard parmi les nombreux « secteurs » du labyrinthe.

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