Quand les Japonais envahissent la Nouvelle-Guinée en 1942, Grace Ingram, une Australienne participant à une expédition scientifique, est capturée et emprisonnée dans un camp de femmes. Elle est dans la même baraque que six autres femmes : Janet Cook, une Américaine de moins de vingt ans, enceinte ; Ann Van Laer, une veuve allemande de caractère froid, mais sympathique ; Claire Oudry, une domestique française ; Mai-Lu Ferguson, une infirmière ; et deux autres Américaines, Mara Shepherd, riche et innocente, et Regan, une jeune femme à la voix douce.
Pendant un raid aérien, Janet accouche d'un enfant mort-né. Le capitaine Oda, relativement humain, meurt dans la même occasion. Le sergent Takahashi, son sadique assistant, prend alors le commandement du camp, mais le docteur Matsumo, un Japonais bienveillant, aide les femmes à s'évader.
Mara est reprise et torturée à mort. Claire et Regan sont tuées par des tirs. Les quatre survivantes rencontrent un pilote américain blessé, le lieutenant Bill Jackson, qui les aide à se diriger vers la plage, mais meurt avant d'y arriver. Un planteur, Luis Hullman, découvre les femmes, feint la bienveillance, et projette de les livrer aux Japonais. Mais les femmes ont vent de ses intentions, le tuent et s'échappent en bateau vers les lignes allées.
Fiche technique
Titre français : Traquées par les Japs ou Echappées de l'enfer jaune[2]
Titre original anglais : Seven Women from Hell ou Womanhunt[2]
Le scénario du film est écrit par Jesse Lasky Jr. et sa femme, Pat Silver-Lasky pour Robert Lippert, qui s'entendait avec la Fox pour faire des films à petit budget[4].
↑(en) Aubrey Solomon, Twentieth Century Fox: A Corporate and Financial History (The Scarecrow Filmmakers Series), Lanham, Maryland, Scarecrow Press, (ISBN978-0-8108-4244-1), p. 253
↑(en) Hedda Hopper, « Entertainment: Red Skelton Will Star in Own Story Filming Planned in Tokyo; Chevalier in 'The castaways' », Los Angeles Times, Los Angeles, Californie, , A7
↑(en) Maury Dexter, Highway to Hollywood, (lire en ligne), p. 109
↑(en) P. K. Scheuer, « Randall envisions malibu pied piper », Los Angeles Times,