Trailer Park Sex est formé en mai 2009 par Juan Gracia et Lea Svetlana. Le nom du groupe vient de Trailer Park Jesus, une chanson du groupe new-yorkais Glassjaw. En 2010, le groupe au complet enregistre un EP Now or Fucking Never. Got No Candy et Fucking Nazis in a Beautiful Budapest font l'objet de clips ; le premier passe sur IMusic1. L'EP est bien accueilli par la presse spécialisée[3],[4],[5],[6],[7],[8],[9],[10],[11].
Début 2013, le groupe publie son premier album Struggle. L'album est masterisé par Alex Kloos aux TimeTools Studios d'Hannover. Le premier single Requiem For The Bloodless est publié lavant l'album, qui est lui-même suivi par les singles We've Got Business (Animal Liberation Anthem) et Ain't No Life, tous accompagnés d'un clip. L'album est bien accueilli par la presse spécialisée internationale, et popularise encore plus le groupe en Europe et en Amérique[16],[17],[18]. La tournée qui suit la sortie de l'album va jusque dans les Amériques : les États-Unis, le Canada, l'Argentine et l'Uruguay[19],[20].
À la fin de 2013, Trailer Park Sex publie un EP avec le groupe uruguayen Radical, le dédicaçant à Randy Blythe, le chanteur de Lamb of God, qui vient d'être acquitté.
En , TPS publie Transatlantic, un split-EP avec Radical de Montevideo, Uruguay[21].
Les paroles en anglais, parfois en italien et en espagnol, sont très critiques de la société. Une particularité du groupe est la présence de Lea Swetlana à la batterie, ce qui est particulièrement rare dans le metal. Le groupe gère tout lui-même, de la production de ses disques, de même que pour les illustrations et la vente des concerts, ce qui en fait un exemple de la scène DIY.