Toni Coppers naît le à Saint-Trond. Il est élève à l'athénée royal de Saint-Trond[1].
Toni Coppers aborde la littérature en 1995 avec De Beha van Madonna, dans lequel il écrit des lettres de voyage littéraires à des amis et des connaissances[1]. À cette époque, il est journaliste pour Radio 1 et produit plusieurs programmes de voyage pour la chaîne publique, tels que Gewoonweg, Lopend Vuur et Het Landhuis[1].
Ses romans lui ont valu plusieurs prix, dont le prix Hercule Poirot[2] et le MAX Gouden Vleermuis Oeuvre Prize[4].
À l'occasion de la célébration des 50 ans de la mort de l’artiste belge René Magritte, la Fondation Magritte le sollicite pour écrire un thriller[3]. En 2019, son premier roman traduit en français est L'Affaire Magritte publiés aux Éditions Diagonale[3]. L'ouvrage qui tourne autour des images du peintre et des démons d’un enquêteur est efficace[3],[5].
En 2022, il est récipiendaire du Hercule Poirot Lifetime Award à l'occasion de la publication de son 25e livre Jacht[6].
Parallèlement, il enseigne l'analyse de la communication au GroepT de Louvain et il est responsable de la gestion de la qualité à la VRT[1].
Vie privée
Il vit et travaille alternativement à Anvers et dans les Ardennes[9]. Il est marié à l'autrice Annick Lambert et la famille recomposée compte 5 enfants[9].
Œuvres
Publications
Romans en français
Toni Coppers, L'Affaire Magritte[3],[5], Namur, Éditions Diagonale, , 360 p. (ISBN9782930947013)
↑ abcd et eJean-Claude Vantroyen, « «C’est dans l’écriture que je me suis découvert» », Le Soir, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en) « Toni Coppers », sur flandersliterature.be (consulté le ).
↑ a et bMireille Descombes, « Le tueur qui citait Magritte », Le Temps, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b(nl) Phebe Somers, « Anne-Laure Van Neer wint de 25e Hercule Poirot-prijs, West-Vlamingen grijpen naast de winst », KW, (lire en ligne, consulté le ).