Il est un des correspondants de Pline le Jeune, et on apprend que Pomponius vient de prendre sa retraite : « Cette vieillesse convient à un homme qui a occupé les postes les plus importants, commandé des armées, et s'est entièrement consacré au service de l'État tant que c'était son devoir[7],[8] ». Cette lettre est datée de 105/106[3].
Christian Settipani, Continuité gentilice et Continuité familiale dans les familles sénatoriales romaines à l'époque impériale, Linacre College, Oxford University, coll. « Prosopographica & Genealogica », , 597 p. (ISBN1-900934-02-7)
Notes et références
↑Annette Flobert, Lettres de Pline, Flammarion, 2002, p. 175.
↑Julian Bennett, Trajan. Optimus Princeps, Londres, Routledge, 1997, p. 19.
↑ abc et dAnnette Flobert, Lettres de Pline, Flammarion, 2002, p. 485.
↑Julian Bennett, Trajan. Optimus Princeps, Londres, Routledge, 1997, p. 77.
↑ a et bJohn D. Grainger, Nerva and the Roman Succession Crisis of AD 96-99, Routledge, 2004, p. 123.
↑Julian Bennett, Trajan. Optimus Princeps, Londres, Routledge, 1997, p. 246.
↑Annette Flobert, Lettres de Pline, Flammarion, 2002, pp. 175-176, « Lettre IV, 23 - À Pomponius Bassus ».