En l'an 2004, le voyage dans le temps est devenu réalité et les criminels comptent bien s'en servir. Pour éviter que le cours du temps ne soit altéré, le gouvernement américain décide de créer la T.E.C. (Time Enforcement Commission), chargée de réglementer et protéger le continuum espace-temps. Max Walker, ancien flic endurci depuis le décès de sa femme et considéré comme le meilleur agent de la T.E.C., tente d’empêcher un criminel de sévir dans le temps, ce qui le ramène dans une époque qu'il a connue et qui pourrait changer sa vie mais aussi le continuum espace-temps au grand complet, afin de restaurer l'avenir de sa compagne.
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Aux États-Unis, Timecop est le plus grand succès de Jean-Claude Van Damme comme tête d'affiche, le second film à avoir fait plus de 100 millions de dollars de recettes (après Universal Soldier). En France, il connaît un succès relatif, faisant 903 035 entrées[réf. nécessaire].
Distinctions
Prix du meilleur second rôle féminin pour Mia Sara, et nomination au prix du meilleur film de science-fiction, meilleur scénario et meilleurs effets spéciaux pour Gregory L. McMurry, par l'Académie des films de science-fiction, fantastique et horreur en 1995[3].
Une adaptation en jeu vidéo, Timecop, sort en 1995 sur Super Nintendo. Paradoxalement, si Jean-Claude Van Damme n'apparaît ni sur la jaquette, ni dans les cinématiques pour des questions de droit à l'image, le joueur en revanche prend le contrôle d'un Max Walker ressemblant à l'acteur. Une version Mega-CD est prévue mais annulée à la dernière minute. Max Walker apparaît par ailleurs en tant que personnage jouable dans le jeu vidéo Broforce sous le pseudonyme de « Time Bro ».