Tim Bendzko est né à Berlin dans le quartier de Kaulsdorf et a grandi dans celui de Köpenick. Dans sa jeunesse, il fréquente une école de sport de haut niveau et joue au football dans le 1. FC Union Berlin[3]. Plus tard, il étudie la théologie protestante et les religions non chrétiennes[4].
Après avoir pris des cours de guitare, il commence à écrire ses premières chansons à l'âge de seize ans. Il gagne un concours de jeunes talents à l'été 2009 et se produit devant 20 000 spectateurs à la Waldbühne de Berlin. Il signe un contrat d'enregistrement avec Sony Music Entertainment[5].
Le , Tim Bendzko sort son premier album, Wenn Worte meine Sprache wären, avec en premier single Nur noch kurz die Welt retten disponible le . Le clip a été réalisé par Hagen Decker à Los Angeles. Le single atteint la deuxième place aux Media Control Charts, le single et l'album se vendent à plus de 300 000 exemplaires et sont également disques de platine.
Il fait la première partie des tournées en Allemagne d'Elton John et de Joe Cocker. Le , Bendzko représente Berlin au concours de la chanson Bundesvision Song Contest 2011 avec la chanson-titre Wenn Worte meine Sprache wären et l'emporte[6]. Il collabore avec le rappeur F.R.(de) sur le titre Zweifellos dans son album Ganz normaler Wahnsinn. Le , il gagne le prix Bambi dans la catégorie Newcomer.
2010 : Demotape avec les titres : Wenn Worte meine Sprache wär´n, Das letzte Mal, Mein Leben ist Dein Leben, Zeit die bleibt, Kleiner Wind, Wo ist sie hin