Il suit sa scolarité primaire à Auvernier et secondaire à Colombier, puis étudie quatre ans au Technicum de La Chaux-de-Fonds[1], où il rencontre de grands maîtres en horlogerie, Jean-Claude Nicolet et André Curtit.[réf. nécessaire]
Il travaille huit mois dans le service après-vente d'Ébauches SA, puis ouvre un atelier à Auvernier en 1981[1].
Thierry Amstutz a commencé le judo à l’âge de six ans. Il a remporté de nombreuses médailles au niveau national et international[3][source insuffisante]. Il est le président du Judo Sport Auvernier depuis 1981. Membre du comité de l'Association neuchâteloise de judo (ANJ) depuis 1981, tout d'abord secrétaire (8 ans), puis vice-président (9 ans) et président (10 ans), il quitte la direction de l'Association en 2008[4][source insuffisante]. Il est nommé président d'honneur de l'ANJ[5] le .
L’Association des artisans, commerçants et amis d’Auvernier, fondée en 1976, n’était plus en activité depuis 1985. Sous l’impulsion de Thierry Amstutz, la première assemblée constitutive a eu lieu le lundi . Depuis cette date, de nombreuses manifestations font vivre le village. Après dix années à la tête de la direction[6], le titre de président d’honneur de l’Association des artisans et commerçants d’Auvernier lui est décerné le [7].
Après la parution de son premier roman, en 2012, La Pendule du souvenir (Éditions Slatkine), il est admis membre de l’Association des écrivains neuchâtelois et jurassiens[8] lors de l’Assemblée générale du . Le , il est élu président[9].
Bibliographie
La Pendule du souvenir, Éditions Slatkine, [10],[11]
↑L'AENJ est une association que rassemble depuis 1950 des poètes, des romanciers, des essayistes, des chroniqueurs et des librettistes liés aux cantons de Neuchâtel et du Jura ainsi qu'à la partie francophone du canton de Berne site officiel.