Le journal est délocalisé à Boston en . En 1855, Paulina Kellogg Wright Davis en délègue l'édition à Caroline Wells Healey Dall, laquelle souhaite en faire un journal littéraire, à l'inverse du souhait de sa fondatrice, qui y voit avant tout un instrument de réforme en faveur des droits des femmes[6]. The Una périclite rapidement et cesse de paraître en octobre 1855. Trente-cinq numéros ont été publiés[7].
Le slogan du premier numéro était : « Out of great heart of nature seek we truth » ; The Una avait pour sous-titre : « A Paper Devoted to the Elevation of Women »[5].
Notes et références
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « The Una » (voir la liste des auteurs).
Notes
↑The Lily est le premier journal écrit, édité et possédé par des femmes aux États-Unis ; « dévoué aux intérêts des femmes », il ne promeut toutefois pas de manière globale les objectifs du mouvement pour le droit des femmes[2],[3].
Références
↑Taryn Benbow-Pfalzgraf, American Women Writers : A Critical Reference Guide from Colonial Times to the Present, St. James Press, , 2e éd. (ISBN1-55862-431-7), « Davis, Paulina (Kellogg) Wright »