Il est surtout connu pour ses travaux sur la Shoah, notamment par son best-sellerThe Survivor: An Anatomy of Life in the Death Camps (« Le survivant : Anatomie de la vie dans les camps de la mort ») paru en 1976 et qui analyse la survie dans les camps de concentration nazis et les goulags du point de vue des survivants, en exploitant leurs écrits ou mémoires[2]. Il brosse le portrait des survivants comme des personnes capables de « surpassement », s'opposant en cela à d'autres théories de la survie[3].
Des Pres meurt en 1987 dans des conditions troubles, les explications avancées incluant le suicide ou la mort accidentelle[4].
« Remembering Armenia », introduction de The Armenian Genocide in Perspective, Transaction Publishers, 1986 (ISBN0-88738-636-9). (ISBN978-0-88738-636-7)
« Introduction » dans Jean-Francois Steiner, Treblinka: The inspiring story of the 600 Jews who revolted against their murderers and burned a Nazi death camp to the ground, Plume, 199 (ISBN0-452-01124-8).
Références
↑(en) « Terrence Des Pres, 47, A Writer and Professor », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Paul R. Bartrop et Steven L. Jacobs, Fifty Key Thinkers on the Holocaust and Genocide, Routledge, (ISBN9781136931383, lire en ligne), p. 91