Au cours de sa vie, Higginson reçoit des stigmates aux mains et au pieds[1]. Lors de ses prières, elle connaît à plusieurs reprises des périodes d'extase qui durent plusieurs jours. Elle aurait « violemment rejoué » les épisodes du chemin de croix[5].
(en) Tine Van Osselaer, Henk de Smaele et Kaat Wils, « Medical And Mystical Opinions in British Catholicism: The Contentious Case of Teresa Higginson », dans Sign or Symptom?: Exceptional Corporeal Phenomena in Religion and Medicine in the 19th and 20th Centuries, Leuven University Press, coll. « KADOC Studies on Religion, Culture and Society » (no 19), (ISBN9462701075, lire en ligne), p. 75.
(en) Clare Colettine, The Last Days of the Servant of God, Teresa Helena Higginson, Teresa Higginson Repository, 31 p. (présentation en ligne).
Alfred Baudrillart, « HIGGINSON (Teresa Helena) », dans Dictionnaire d'histoire et de géographie ecclésiastiques, publié sous la direction de Alfred Baudrillart, Albert Vogt, et Urbain Rouziès, avec le concours d'un grand nombre de collaborateurs, vol. 24, Letouzey et Ané, (présentation en ligne), p. 435.
(en) Mary John Broderick, Catholic Schools in England, Catholic University of America, (présentation en ligne).