Teddy Mazina, né en 1972 à Bujumbura, est un photographeburundais[1]. Il est en particulier connu pour son travail réalisé en clandestinité au Burundi à la suite de la crise de 2015, concernant la situation des droits de l'homme et celle de la liberté de la presse. En effet, il couvrait autant que possible les arrestations arbitraires et les diverses enfreintes du pouvoir aux règles démocratiques[2],[3].
Le , à l'occasion du 15e Festival du film et forum international sur les droits humains à Genève (Suisse), l'association du Prix Martine-Anstett récompense son travail et lui remet le Prix Martine-Anstett 2017.
Références
↑« Teddy Mazina: « Mettre un bulletin dans une urne, au Burundi, c'est de la foutaise » », Le Monde.fr, (ISSN1950-6244, lire en ligne, consulté le )
↑« Burundi : Teddy Mazina, photographe et "activiste de la mémoire" - JeuneAfrique.com », JeuneAfrique.com, (lire en ligne, consulté le )
↑« Dans la clandestinité au Burundi : « S’ils m’attrapent, je m’en fous, j’ai fait mon boulot » », Le Monde.fr, (ISSN1950-6244, lire en ligne, consulté le )