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L'incubateur Technopark offre un accompagnement personnalisé aux entreprises incubées et heberge quelques acteurs de l'écosystème entrepreneurial marocain afin de créer une dynamique écosystémique sur les territoires.
Historique
Un nouveau bâtiment est conçu à Casablanca[Quand ?] pour l'administration des douanes. Celle-ci s'installant à Rabat fin des années 1990, il est dès lors inoccupé. L'idée d'y installer un parc technologique est explorée et retenue. En 2000, le bâtiment est inauguré par Mohammed VI, et il ouvre ses portes en 2001.
Accueillant dans un premier temps une cinquantaine d'entreprises, la Banque mondiale soutient un projet d'incubateur, qui permet d'accompagner la création et le développement d'entreprises.
Le bilan du Technopark incite à la création de deux nouveaux incubateurs sur le même concept, à Rabat et à Tanger. Celui de Rabat ouvre ces portes en 2012.
En 2014, on dénombre 230 entreprises.
Actionnaires fondateurs du Technopark
Le Technopark est un partenariat public privé entre l'état marocain, à hauteur de 35 %, et le monde bancaire, à 65 %[1].
Démographie
D'après les statistiques publiées par le Technopark, le site accueille environ 2 000 salariés, d'une moyenne d'âge inférieure à 30 ans[2].
Architecture
Le bâtiment, surnommé « Goldorak »[3],[4],[5], du nom du personnage principal de l'animé homonyme, est une construction contemporaine en verre et béton.
Les vitres sont recouvertes de « Scotchcall » (ou « One Way Vision ») de 3M, imprimé de façon à constituer un décor visible depuis la rue.
Christophe Assens et Yoni Abittan, « Networking et pôles de compétitivité : le cas du Technopark de Casablanca », Innovations, De Boeck Supérieur, vol. 1, no 31, , p. 157-180 (DOI10.3917/inno.031.0157, présentation en ligne, lire en ligne) ;
Raymond Tavares, « Science and technology parks: An overview of the ongoing initiatives in Africa », African Journal of Political Science and International Relations, vol. 3, , p. 208-223 (ISSN1996-0832, présentation en ligne, lire en ligne).