Son premier secrétaire est Sylvain Bois. Il déclare lors de la réunion du comité de création du SAVT : « Il est nécessaire, il est juste, il est fatal que ce soit nous, comme syndicat valdôtain, qui prenions en main la direction de la classe ouvrière et agricole valdôtaine et qui cherchions avec elle les moyens de résoudre chez nous les problèmes des rapports sociaux[1]. »
Dès sa création, le syndicat valdôtain publie un journal « Le Réveil Social[2] ».
Bien que le SAVT ne soit lié à aucun parti politique, depuis sa fondation jusqu'aux années 1970 il a le droit de nommer trois représentants au sein du comité central de l'Union valdôtaine, exerçant ainsi une influence sur les choix de cet organe.