Sylviane Dupuis

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Sylviane Dupuis
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Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (68 ans)
GenèveVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Autres informations
Distinctions
Prix de poésie de la Fondation C. F. Ramuz (d) ()
Prix Pittard de l'Andelyn (d) ()Voir et modifier les données sur Wikidata

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Sylviane Dupuis, née le 20 mars 1956 à Genève, est une poète, dramaturge et essayiste suisse.

Biographie

Dupuis a obtenu sa licence ès Lettres (en littérature française, en archéologie et en grec classique) à Genève en 1979. Son mémoire de licence a été supervisé par Jean Starobinski.

Après avoir travaillé dans le domaine de l'édition à Paris et avoir été assistante à la Faculté des Lettres de l'Université de Genève pendant un an, elle a décidé de se consacrer à l'écriture.

Elle est enseignante de littérature française au Collège Calvin à Genève et a également enseigné à l'Université de Genève de 1997 à 2000.

Bourse et distinction

Publications

Poésie

  • Odes brèves, Lausanne, Empreintes, 1995
  • D’un lieu l’autre (1985) suivi de Creuser la Nuit (1985)[2] suivi de Figures d’égarées (1989)[3], Moudon, Poche Poésie, Empreintes, 2000
  • Géométrie de l’illimité, Genève, La Dogana, 2000
  • Poème de la méthode, Chavannes-près-Renens, Empreintes, 2011 (ISBN 978-2-940414-18-5)

Essais

Théâtre

  • La Seconde Chute, Genève, Zoé, 1993 (rééd. 1996)[8]
  • Moi, Maude, ou la Malvivante (bilingue français-allemand), Genève, Zoé, 1997[9],[10]
  • Être là, Genève, Zoé, 2002
  • Théâtre de la parole / Teatro della parola, Faenza, Mobydick, 2004
  • Les Enfers ventriloques, Chambéry, Comp’Act/L’ACT MEM, 2004 (rééd. 2009)
  • Le Jeu d’Ève, Genève, Zoé, 2006
  • Cantate à sept voix, Le Miel de l'Ours, 2009

Références

  1. ↑ « À noter » (brève), Gazette de Lausanne - Samedi Littéraire,‎ , p. IV (lire en ligne)
  2. ↑ Marion Graf, « Sylviane Dupuis, après la perte divine », Gazette de Lausanne - Samedi Littéraire,‎ , p. III (lire en ligne)
  3. ↑ Marion Graf, « Royauté de papier », Journal de Genève - Samedi Littéraire,‎ , p. III (lire en ligne)
  4. ↑ Jacques-Étienne Bovard, « Sylviane Dupuis voyage vers l'absolu », Le Nouveau Quotidien,‎ , p. 24 (lire en ligne)
  5. ↑ Marion Graf, « De vrais possédés de l'absolu », Journal de Genève et Gazette de Lausanne - Samedi Littéraire,‎ , p. 33 (lire en ligne)
  6. ↑ Julien Burri, « Sylviane Dupuis : « L’œuvre de Chessex reflète le malaise qui a façonné la Suisse des années 1960 à 2000 » », Le Temps,‎ (lire en ligne Accès payant)
  7. ↑ Boris Senff, « Jacques Chessex, la mante religieuse », 24 heures,‎ , p. 19 (lire en ligne Accès payant)
  8. ↑ Lisbeth Koutchoumoff, « Sylviane Dupuis fait enfin arriver Godot, l'homme qu'on n'attendait plus », Le Nouveau Quotidien,‎ , p. 23 (lire en ligne)
  9. ↑ Sandrine Fabbri, « Moi, Maude la Malvivante, ayant tué mon père et ma mère le jour de mes dix-huit ans », Journal de Genève et Gazette de Lausanne,‎ , p. 23 (lire en ligne)
  10. ↑ Lisbeth Koutchoumoff, « J'ai égorgé mes parents et je refuse l'indulgence », Le Nouveau Quotidien,‎ , p. 26 (lire en ligne)

Liens externes