Stefan Mieczysław Wilkanowicz effectue sa scolarité secondaire chez les marianistes puis dans un lycée clandestin [pendant l'occupation allemande de la Pologne[3]. Il obtient un diplôme d'ingénieur en mécanique à l'École polytechnique de Varsovie avant de faire, tout en ayant des activités professionnelles les plus variées (notamment à Ursus, des études de philosophie, suspendues à l'époque stalinienne, pendant laquelle il est emprisonné pour « complot contre l'État », à l'Université catholique de Lublin avec un mémoire consacré à « L’émancipation de la classe ouvrière selon Emmanuel Mounier » puis en 1963 une thèse intitulée « Personalizm mounierowski wobec kultury masowej » (Le personnalisme de Mounier et la culture de masse)[3].
Stefan Wilkanowicz a épousé en 1964 Marie-Thérèse Trần Thị Lài (1929-2014), issue d'une famille de mandarins catholiques du Vietnam. Il a deux filles, Marzena Wilkanowicz-Devoud, journaliste rédactrice en chef de l'édition polonaise d'ELLE, et Katarzyna Wierzchosławska, écrivain et traductrice.
↑Thérèse Hebbelinck, L'Affaire du carmel d'Auschwitz (1985-1993) : Implication des Églises belge et française dans la résolution du conflit, Presses universitaires de Louvain, Louvain-La-Neuve, collection Sillages, numéro 17, avril 2012 (ISBN978-2-87558-042-9)
↑(pl) « Galeria », sur przymierze.krakow.pl (consulté le ).