La sonate K. 71, en sol majeur, est notée Allegro. Avec les deux sonates qui l'entourent dans le manuscrit de Venise (K. 70 et 72), d'une parenté évidente, les trois reflètent le style de toccata en imitation[1].
Première section et début de la seconde, de la sonate en sol majeur K. 71, de Domenico Scarlatti.
Manuscrits
Le manuscrit est le numéro 35 du volume XIV (Ms. 9770) de Venise (1742), copié pour Maria Barbara[2]. Une copie figure à Vienne Q 15115[3] et une autre à Turin (I-Tn), Fonds Foà-Giordano, ms. 394 (no 13)[4], dont Pestelli[5] estime qu'il est postérieur à la publication des Essercizi (1738)[6].
(it) Giorgio Pestelli, Le sonate di Domenico Scarlatti : proposta di un ordinamento chronologica, Turin, Giappichelli, coll. « Archeologia e storia dell'arte » (no 2), , iv-294 (OCLC313316263, BNF43197837)
(en) Joel Sheveloff (thèse de doctorat), The keyboard music of Domenico Scarlatti : a re-evaluation of the present state of knowledge in the light of the sources, Ann Arbor, Brandeis University, , xiv-688 (OCLC832477), p. 201
(es) Celestino Yáñez Navarro (thèse), Nuevas aportaciones para el estudio de las sonatas de Domenico Scarlatti. Los manuscritos del Archivo de Música de las Catedrales de Zaragoza, Université autonome de Barcelone, (lire en ligne)
Les dates indiquées sont celles de l'édition des Essercizi et de la copie des volumes — et non la date de composition des œuvres.Les accolades figurent les paires ou les triptyques des manuscrits de Venise, Parme, Madrid et Saragosse, etc.Voir aussi : Concordances des catalogues et manuscrits des sonates