La sonate K. 500, en la majeur, notée Allegro, forme une paire avec la sonate précédente. Comme pour la sonate K. 493, Scarlatti traite dans l'ouverture en imitation et diminution à chaque répétition (quatre mesure, puis deux) ainsi qu'au début de la seconde section[1]. On note l'asymétrie thématique entre les deux sections, en particulier leurs cadences finales. La pièce se compose uniquement de gestes instrumentaux, plus évidemment en seconde section[2].
Premières mesures de la sonate en la majeur K. 500, de Domenico Scarlatti.
Manuscrits
Le manuscrit principal est le numéro 17 du volume XII (Ms. 9783) de Venise (1756), copié pour Maria Barbara ; les autres sont Parme XIV 17 (Ms. A. G. 31419), Münster (D-MÜp) I 35 (Sant Hs 3964) et Vienne C 30 (VII 28011 C)[3].
Les dates indiquées sont celles de l'édition des Essercizi et de la copie des volumes — et non la date de composition des œuvres.Les accolades figurent les paires ou les triptyques des manuscrits de Venise, Parme, Madrid et Saragosse, etc.Voir aussi : Concordances des catalogues et manuscrits des sonates