La sonate K. 317, en fa majeur, est notée Allegro dans Venise et Allegrissimo dans les manuscrits de Parme et Madrid. Ici Scarlatti fait progressivement varier la densité des accords et des formules mélodiques afin de faire ressortir la dimension dynamique de l'instrument[1].
Premières mesures de la sonate en fa majeur K. 317, de Domenico Scarlatti.
Manuscrits
Le manuscrit principal est le numéro 22 du volume VI de Venise (1755), copié pour Maria Barbara ; les autres sources manuscrites étant Parme VIII 16[2] et le numéro 4 du manuscrit Ayerbe de Madrid (E-Mc, ms. 3-1408)[3].
(es) Laura Cuervo Calvo, « El manuscrito Ayerbe : una fuente española de las sonatas de Domenico Scarlatti de mediados del siglo XVIII », Ad Parnassum, Ut Orpheus Edizioni, vol. 13, no 25, , p. 1–26 (ISSN1722-3954, OCLC1006521868, lire en ligne).
Les dates indiquées sont celles de l'édition des Essercizi et de la copie des volumes — et non la date de composition des œuvres.Les accolades figurent les paires ou les triptyques des manuscrits de Venise, Parme, Madrid et Saragosse, etc.Voir aussi : Concordances des catalogues et manuscrits des sonates