Première section de la sonate en fa majeur K. 17, de Domenico Scarlatti.
Édition et manuscrits
L'œuvre est imprimée dans le recueil des Essercizi per gravicembalo publié sans doute à Londres en 1738[1]. Une copie subsiste dans les manuscrits de Venise XIV 33 de 1742 et de Münster V 43[2]. Dans une copie parisienne du manuscrit Roussel (F-Pa, Ms. 6784), conservée à la Bibliothèque de l'Arsenal, la sonate porte la date de 1735[3]. La sonate figure à Saragosse (E-Zac), source 3 (1750-1751), ms. B-2 Ms. 32, fos 61v-63r, no 31 (1751–1752)[4].
↑(es) Águeda Pedrero-Encabo, « En torno a la difusión temprana de sonatas de Domenico Scarlatti », Revista de Musicología, vol. 42, no 2, , p. 571-614 (ISSN0210-1459, DOI10.2307/26869428, lire en ligne).
(es) Celestino Yáñez Navarro (thèse), Nuevas aportaciones para el estudio de las sonatas de Domenico Scarlatti. Los manuscritos del Archivo de Música de las Catedrales de Zaragoza, Université autonome de Barcelone, (lire en ligne)
Les dates indiquées sont celles de l'édition des Essercizi et de la copie des volumes — et non la date de composition des œuvres.Les accolades figurent les paires ou les triptyques des manuscrits de Venise, Parme, Madrid et Saragosse, etc.Voir aussi : Concordances des catalogues et manuscrits des sonates